vendredi 11 avril 2008

Vol Charter

Les passagers d'un vol charter sont assis à leur place et attendent les pilotes.

Bientôt, deux hommes entrent dans l'avion, en uniforme de pilote. Ils portent des lunettes noires. L'un d'eux est accompagné d'un chien d'aveugle, l'autre tâte son chemin a l'aide d'une canne blanche. Ils avancent dans l'allée, entrent dans la cabine de pilotage et referment la porte.

Plusieurs passagers rient nerveusement et tous se regardent avec une expression allant de la surprise à la peur ou au scepticisme. Certains cherchent les cameras cachées.

Quelques instants plus tard, les moteurs de l'avion s'allument et l'avion prend de la vitesse sur la piste. Il va de plus en plus vite mais ne semble jamais devoir décoller. Les passagers regardent par les hublots et réalisent que l'avion se dirige tout droit vers un lac qui se trouve en bout de piste.

L'avion roule maintenant très vite et les voyageurs comprennent qu'ils ne décolleront jamais et qu'ils vont tous plonger dans le lac. Les cris des passagers apeurés remplissent alors l'avion, mais à ce moment l'avion décolle tout doucement, sans problème.

Les passagers se remettent de leurs émotions, rient, se sentant stupides d'avoir été roulés par cette mauvaise plaisanterie. Quelques minutes plus tard, l'incident est oublié.

Dans la cabine de pilotage, le pilote tâte le tableau de bord, trouve le bouton du pilote automatique et le met en fonction.

Il dit ensuite au copilote : - Tu sais ce qui me fait peur ?

- Non, répond l'autre.

- Un de ces jours, ils vont crier trop tard et on va tous mourir.

vendredi 4 avril 2008

AUDI QUATTRO

Cinq copains arrivent au péage à bord d'une Audi Quattro où ils sont contrôlés par un motard de la Gendarmerie.
Après les formalités d'usage, un dialogue s'installe entre le Gendarme et le conducteur.

Le gendarme (très sérieux) : - Vous êtes 5 dans une Audi Quattro, vous ne pouvez pas passer, ou alors l'un de vous doit sortir du véhicule.

Le conducteur (étonné et légèrement moqueur) : - Écoutez, le nom de la voiture n'a rien à voir avec le nombre d'occupants. Nous avons le droit d'être à 5.

Le gendarme : - Pas question, vous êtes dans une Audi QUATTRO, vous devez être 4 occupants maxi. Si l'un de vous ne descend pas, je ne vous laisse pas passer.

Le conducteur (qui commence à s'énerver) : - Je vous dis que le terme QUATTRO a un rapport avec l'action sur les 4 roues, ça n'a rien à voir avec le nombre d'occupants.

Le gendarme (toujours imperturbable) : - Pas question ! Je ne vous laisse pas passer tant que l'un de vous ne descend pas de l'Audi Quattro.

Le conducteur (excédé) : - Fini la plaisanterie ! ! ! Faites venir votre chef que je puisse régler le problème avec lui ! Vous êtes un incapable ! ! !

Le gendarme : - Ce n'est pas possible. Il est occupé avec 2 connards dans une Fiat UNO !

mercredi 2 avril 2008

BILAN SARKO

SARKO LE
PREMIER
BILAN…












ALLEZ ...
PLUS QUE
4 ANS !!!

Ciel OU Enfer (Le Choix)

Sarkozy meurt
accidentellement...
Il est accueilli au Paradis par Saint-Pierre qui lui dit :
- « Bienvenue ! Cependant, nous devons régler un petit problème… Nous voyons si rarement des Présidents ici que nous ne sommes pas certains de ce que nous devons faire de toi. Le Grand Patron veut que tu passes un jour en Enfer et un jour au Paradis. Tu devras ensuite choisir l'endroit où tu voudras passer l'éternité. »
- « Mais j'ai déjà décidé, je veux rester au Paradis. »
- « Je regrette, mais nous avons nos règlements. »

Saint - Pierre conduit Nicolas Sarkozy vers un ascenseur qui le conduit en Enfer.

Quand la porte s'ouvre, il se retrouve sur un magnifique terrain de golf tout vert, le soleil brille dans un ciel sans nuages et il y fait un parfait 25 degrés.
Au loin se profile un superbe club house. A l'avant de l'édifice se trouvent son papa ainsi que Charles de Gaulle et Pompidou.

Une grande partie de la droite est là aussi ; tous ces beaux personnages s'amusent, heureux et habillés de façon élégante mais décontractée (Dior, Versace, Armani, etc.).
Ils accourent à sa rencontre, l'embrassent et se mettent à brasser leurs souvenirs d'antan et leurs débats homériques (ha! ha!).
Ils jouent une partie de golf amicale et dînent au homard et au caviar.
Le Diable offre même une consommation glacée…

- « Bois donc ce Margarita et relaxe un peu, Nicolas ! »
- « Euh, ben, je ne peux plus boire, j'ai fait un serment. »
- « Voyons, mon garçon, c'est l'Enfer ici.
Tu peux boire et manger tout ce que tu veux sans t'inquiéter.
À partir de maintenant, ça ne peut qu'aller de mieux en mieux! »

Nicolas boit son cocktail et commence à trouver le Diable sympathique.Il est gentil, raconte de bonnes blagues, aime aussi jouer de bons tours, etc.
Ils s'amusent tellement qu'ils ne voient pas le temps passer…
Arrive pourtant l'heure de partir. Tous ses amis le serrent dans leurs bras et Sarkozy prend l'ascenseur qui monte vers le Ciel.

Saint-Pierre l'attend à la sortie.
- « C'est maintenant le temps de visiter le Ciel, lui dit le vieil homme, en ouvrant la porte du Paradis. »

Pendant 24 heures,
Nicolas Sarkozy doit frayer avec Jean Moulin, Jean Jaurès, Jean Monnet, Guy Mollet, Charles Hernu , le promeneur du Champ de mars et toute une confrérie de gens bienveillants qui conversent de sujets beaucoup plus intéressants que l'argent et qui se traitent l'un l'autre avec courtoisie.
Pas un seul mauvais coup ou une seule blague cochonne; pas de «club house» mirobolant mais un resto ordinaire.Étant donné que ces gens sont tous pauvres,il ne rencontre aucune connaissance, et il n'est pas reconnu comme quelqu'un d'important ou de spécial !
Pire ! Jésus est une espèce de hippie, un hurluberlu qui ne parle que de «paix éternelle» et ne cesse de répéter ses insipides rengaines:
"Chasser les marchands du Temple, il sera plus difficile à un riche d'entrer dans mon royaume qu'à un chameau de passer par le chas d'une aiguille,etc.»

La journée terminée, Saint Pierre revient...
-« Alors,Nicolas , tu dois maintenant choisir. »
Sarkozy réfléchit pendant une minute et répond :
- « Bien, je n'aurais jamais pensé faire ce choix. Hum? Bon, je trouve le Paradis «intéressant», mais néanmoins je crois que je serais plus à l'aise en Enfer avec mes amis. »
Saint-Pierre l'escorte alors jusqu'à l'ascenseur et Nicolas Sarkozy redescend jusqu'en Enfer…

Quand les portes s'ouvrent, il se retrouve au beau milieu d'une grande plaine brûlée et stérile, couverte de vidanges et de déchets toxiques industriels. Il est horrifié d'apercevoir tous ses amis, en guenilles et enchaînés tous ensemble, qui ramassent des déchets pour les mettre dans des grands sacs noirs. Ils gémissent de douleur, se plaignant de leur supplice, leurs mains et leurs visages noirs de saleté. Le Diable s‘amène, mettant son bras velu et puant autour des épaules du nouveau.

- « Je ne comprends pas, balbutie Sarkozy en état de choc, lorsque j'étais ici hier, il y avait un terrain de golf et un « club house »; nous avons mangé du homard et du caviar et nous nous sommes saoûlés.
On s'est envoyés en l'air comme des lapins et on s'est tous follement amusés. Maintenant, je ne vois qu'un désert rempli d'immondices et tout le monde a l'air misérable. »

Le Diable le regarde, lui sourit, et lui susurre à l'oreille :
- « Hier nous étions en campagne électorale; aujourd'hui, tu as voté pour nous! »

Logique Présidentielle de boîte de nuit

Dans une boîte de nuit, Nicolas SARKOZY rencontre 3 jeunes filles,une rousse, une blonde et une brune.

S'asseyant à la table de la première, il lui dit : - ' Je suis Nicolas SARKOZY, Président de La République Française, combien me prends-tu pour passer une nuit avec moi ? '

La fille rousse lui répond : - ' Pour vous, Monsieur Le Président, seulement 75 euros. '

Se tournant vers la blonde : - ' Et toi combien ? '

- ' Pour vous, Monsieur Le Président, seulement 45 euros. '

Puis vient le tour de la brune qui lui répond ceci :

- ' Si vous pouvez, Monsieur Le Président, lever ma jupe aussi haut que sont les impôts, baisser ma culotte aussi bas que sont les salaires, sortir votre sexe et le rendre aussi dur qu'est la vie actuelle et le maintenir aussi fort que sont les prix, puis me le mettre de façon aussi douce, délicate et profonde que vous le faites en baisant les Français, alors là, pour vous, Monsieur Le Président, ce sera gratuit...'